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Pays-Bas - Lettonie (détail)
Les Pays-Bas assurent l'essentiel
La mission des Pays-Bas était simple: gagner face à la Lettonie qui avait tenu en échec l'Allemagne. Une tâche qui devait être abordable pour les "Oranjes". A vrai dire, ils n'auront même pas eu à douter tant la Lettonie a manqué de rigueur et d'énergie. Les Hollandais, eux, ont acquis une belle confiance avant d'affronter la Suède en quart de finale. Dès les premières minutes, il était clair que les Lettons allaient connaître des moments difficiles. Moins frais physiquements, ils semblaient accuser le coup devant la construction lente mais juste des Pays-Bas. Seedorf se mettait à l'aise dans le peau du cgef d'orchestre et tentait de trouver van Nistelrooij ou Robben au prix d'une combinaison courte. La domination batave était totale. A la 12e, L'attaquant de Manchester, lancée par Robben, héritait d'une belle occasion mais le portier letton s'interposa brillament dans son face à face avec "Ruuuud". Ce même gardien était clairement le meilleur letton sur le terrain. Mais ce dernier pouvait rien sur le penalty logiquement transformé par van Nistelrooij à la 26e minute. Mais y avait-il faute sur Davids ? Là était toute la question. A laquelle les Néerlandais ne cherchaient pas trop à répondre... Le plus difficile étant fait, les Pays-Bas poursuivaient leur marche en avant et l'intenable Ruud van Nistelrooij y alla de son second but suite à une remise de la tête de Cocu consécutif à un coup-franc. A 2-0, on voyait mal la Lettonie revenir dans un match où elle y était totalement absente ou en tout cas très loin de sa prestation face à l'Allemagne. La seconde période allait être nettement moins passionnante. Le sursaut d'orgeuil letton ne durera que les cinq premières minutes via Rubins qui testait enfin les gants de van der Sar. Mais pour le reste... la rencontre se déroulait à un rythme de sénateur et seules quelques actions techniques néerlandaises sortaient le spectateur neutre de son ennui. La valse des changements ne venait pas arranger les choses... Cela dit, les Pays-Bas héritaient encore de belles occasions mais Kolinko tenait à quitter son premier Euro la tête haute. Après avoir détourné plusieurs tirs de Seedorf et Overmars principalement il s'inclinait une dernière fois sur une frappe de Makaay monté au jeu à la place de van Nistelrooij. Les Hollandais avaient plus que rempli leur mission...
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Au bout du suspens (suite) |
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Les Pays-Bas assurent l'essentiel (suite) |
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